Il est trop tard...
Te dit le mois de novembre
Arbres dénudés désormais pour plus de six mois
Malgré le halo d’or qu’ils dessinent à terre
Les plus vindicatifs se paraient de rouge
désormais sont déjà passés au rouille
Tard trop tard
Car l’or se mange désormais sous forme de mandarines
Acides, acerbes, traîtresses
Elles tordent l’estomac pour renaître dorées
leur promesse déjà éventée
Tu croyais qu’il était encore temps
De te hâter sous les frondaisons
Mais tu as beau lever les yeux
La couleur n’est plus, tu la foules au pied
Trop tard
Certains achètent des canapés,
D’autres te disent qu’ils travaillent beaucoup
Pour combler leur appartement comme leur vie
Vide, et sans questionnement
Mais toi tu doutes,
Tu te nourris de questions
Et tu languis de trouver d’autres gangues
L’ennui te pourrit déjà, comme une feuille oubliée
Te dit le mois de novembre
Arbres dénudés désormais pour plus de six mois
Malgré le halo d’or qu’ils dessinent à terre
Les plus vindicatifs se paraient de rouge
désormais sont déjà passés au rouille
Tard trop tard
Car l’or se mange désormais sous forme de mandarines
Acides, acerbes, traîtresses
Elles tordent l’estomac pour renaître dorées
leur promesse déjà éventée
Tu croyais qu’il était encore temps
De te hâter sous les frondaisons
Mais tu as beau lever les yeux
La couleur n’est plus, tu la foules au pied
Trop tard
Certains achètent des canapés,
D’autres te disent qu’ils travaillent beaucoup
Pour combler leur appartement comme leur vie
Vide, et sans questionnement
Mais toi tu doutes,
Tu te nourris de questions
Et tu languis de trouver d’autres gangues
L’ennui te pourrit déjà, comme une feuille oubliée
1 commentaire:
jolie poeme
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