dimanche 17 janvier 2016

Clé de songes

La clé des songes

J’étais à Zurich, je le savais vaguement car j’ai trouvé une boutique connue (je ne sais plus laquelle), puis je sortie par l’arrière et je suis arrivée à cet endroit magique de Zurich où ds ma tête le Kreis 4 se rapproche géographiquement, et que tout fait sens et que j'arrive m'orienter. Kalkbreite, avec le cinéma et le nouveau complexe. Soudain au lieu d’aller à gauche vers le tournant du tram, je remarquais une rue pavée que je n’avais jamais remarquée. Je l’a pris. Elle montait et soudain je savais que j’étais à Prague, mais dans une partie de la ville que je n’avais jamais encore visité. J’avais une vue magnifique vers une cathédrale, qui ressemblait à celle de Fribourg. Dans les deux trouées j’ai vu de magnifiques canaux et la lumière se divisait comme celle d’un prisme.
J’ai eu beau essayé je n’arrivais pas à la prendre en photo.
Derrière moi s’énervait une famille de touristes, et aussi une fille qui était derrière moi dans la montée, poussant un charriot Migros. Je suis revenue sur mes pas et j’appréciais ce moment : de jolis cafés et un groupe de bossa nova qui jouait sur la terrasse. JE pris à droite dans une ruelle transversale, et m’aperçu que j’étais sur un quai. La mer déborda et faillait me lécher les pieds, mais je me retirais juste à temps. Puis elle déborda vraiment et m’emporte jusqu’à la rue, au-delà des terrasses.
J ?étais trempée : je portais un caraco jaune d’oeuf et un short en léopard. Un gentil touriste américain me parle : je lui dis je suis trempée, il m’a dit j’ai vu. Il me proposa de visiter la ville ensemble, et c’était génial. On se tenait par la main, faisait des photos ensembles. IL avait un regard doux, très maigre, des cheveux noir mi long, un nez fin. Les rues ressemblaient à celle de Prague, des hôtels particuliers, des couleurs pastels. Pendant qu’il prenait en photo des passants sur une terrasse, je m’approchais d’un énorme fronton vert sapin, qui arborait un signe rond disant que c’était la résidence du nonce du pape. Sur la porte, également un signe en cyrillique, disant qu’une sainte y avait martyrise. J ?ai pensé Vaclav Havel, mais non juste une sainte et ce n’était pas milady horakovie. (Une dissidente tchèque)
Je proposais d’aller boire un verre sur une terrasse, nous ne trouvions une mais qui donnait sur une rue passante. Je vis alors que mon caraco était entrouvert. L’américain traversa la rue, moi aussi, mais les voitures ne me laissaient pas passer et finalement je fus heurtée par une voiture.

Puis soudain je fus tirée de mon rêve par un bruit : un oiseau qui tapait sur la vitre. Réveillée je me levais en vitesse, pour voir avec horreur que c’était un énorme Milan surdimensionnée. J’eu très peur qu’il casse la vitre et m’embroche avec son bec, mais au prochain regard je vis soudain que c’était une copine, portant ses skis, qui voulait entrer. JE lui ouvrir la fenêtre, elle était enjouée, mais les couleurs bizarres, saturées, comme si elle avait été photoshoppée là, venant d'un autre écran de télévision. Prise d'un pressentiment bizarre, je sus que ce n’était pas ma copine et lui fermais la porte. Je réalisais que j’étais encore dans mon rêve : je fais le tour de l’appartement, et il était normal, mais comme après une fête et bcp de fumée rouge de fan, comme dans un match de foot. Je me dis c’est bizarre, comment je vais savoir quand je me réveillerai ? Et je suis toute seule à la maison comment vais-je me réveiller ?
Soudain j’étais à Rome, marchant parmi les voitures : j’essayais d’en héler une mais encore une fois elle me renversa. Alors je rencontrais un professeur qui faisait partie de l'école d’espion que depuis le début j’avais intégrée. Mais il était en effet un agent double et m’a kidnappé. On est descendu en rappel le long d’une façade grâce à un système de poulie impliquant une chaise longue. Et puis en dessous, un chat qui portait un pull-over Zalando, m’a donné de nouveaux habits. Et je crois que je me suis réveillée.

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